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 psyko

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AuteurMessage
lisa
Journaliste actif
lisa


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MessageSujet: psyko   psyko EmptyLun 21 Mai à 0:38

et nan julie c'était pas la!
sinon ce sera pas ca l'intro et le dessin ché pa commen on le met dsl!!!

Intelligence analytique
C'est la base des science, qui permet d'affirmer que 1 + 1 = 2. En théorie, elle ne peut être prise en défaut, et permet d'atteindre tous les niveaux de complexité par addition. La tentation est forte de l'assimiler aux mathématiques, mais c'est aussi la base du langage. Elle comporte aussi la perception de l’espace, la richesse de vocabulaire et l’éloquence, ainsi que l’objectivité, l’esprit d’analyse et de jugement.
Cette forme d’intelligence utilise donc principalement le « cerveau gauche » aussi dit analytique, logique, mathématique et séquentiel. Il fonctionne de préférence à partir du détail, il s’en sert pour aller vers la complexité. C’est donc le siège préférentiel du langage, qui s’y trouve exclusivement dans la plupart des cas sauf exception ; exemple, les gauchers.
Dans sa conception traditionnelle l’intelligence relève donc de la maîtrise du langage, de la perception de l’espace, de l’aptitude à compter et de la capacité de raisonnement et de déduction logique. Pourtant de telles facultés ne nous font pas pour autant adopter un comportement intelligent. C’est de cette observation qu’est n’est une nouvelle théorie : l’intelligence émotionnelle.

L’intelligence émotionnelle
Le concept d’intelligence émotionnelle développe le fait que l’intellect repose aussi sur la faculté de percevoir les émotions des autres, de les interpréter, d’exprimer ses émotions et de les gérer.
Pour prendre une décision en l’absence de critères et d’arguments logiques, les individus ont l’habitude de se fier à leurs émotions par exemple.
Elle représente aussi la capacité à tirer profit des émotions pour faciliter des activités cognitives. Par exemple, Alice Isen de l’université de Cornell a montré qu’être de bonne humeur rend les gens plus créatifs .Elle a suscité chez des étudiants une humeur positive (en leur projetant une comédie) ou neutre (en leur passant un film de mathématiques). Après avoir visionner le film, les étudiants étaient mis en présence d’un tableau en liège, d’une bougie, d’une boîte de punaise et d’une boîte d’allumette. Il fallait qu’il trouve en moins de 10 minutes comment fixer la bougie au tableau de liège pour qu’elle brûle sans que la cire ne coule sur la table. Les sujets qui avaient regardés la comédie ont trouvé la solution en plus grand nombre: il fallait vider la boite d’allumette et la punaiser au tableau de liège pour qu’elle serve de support à la bougie. Ainsi, certaines humeurs facilitent certaines taches.
L’intelligence émotionnelle est donc la capacité à utiliser les émotions pour faciliter un raisonnement et développer sa créativité.

Ainsi, chacun de nous (à des degrés divers..) est doués d’intelligence analytique et émotionnelle .Nous pouvons, à la différence d’espèces animales développées, établir un raisonnement logique et développer différentes formes de créativité.
Mais, d’où nous viennent ces facultés ?

Comment expliquer que les hommes soient probablement les êtres les plus intelligents de la planète ?
Les facteurs d’émergence de l’intelligence sont plutôt floues et le sujet fait débat :les généticiens sont d’avis que l’intellect est à 80% innée et à 20% acquis alors que les théoriciens du comportement pensent que le rapport est inverse.
Chez l’homme l’intelligence se développe régulièrement au fur et à mesure que l’enfant apprend grâce aux interventions de ces proches. On sait que sans apports sociaux culturel même un enfant prodige ne deviendrait qu’un adulte attardé.
Nos facultés sont donc probablement conditionnés par notre équipement génétique mais pas seulement, elles sont aussi d’origine culturelle:c’est la théorie de l’intelligence sociale.Elle postule que la complexité de la vie sociale aurait suscité le développement de diverses capacités cognitives (cf.article psycho : le mensonge).
Ce concept suggère que l’entretien des relations les plus profitables et le décodage rapide d’une situation (par exemple porté secours à un proche menacé) à contribuer au développement de l’intellect (puisque ceux qui sont les plus avancés font les meilleurs choix et sont préservés par la sélection naturelle).
D’autres observations mettent en évidence le fait que la culture favorise l’intellect : dans les marais de Sumatra, les orangs outans, ordinairement solitaires se sont regroupés. Les ethnologues furent surpris de constater que les singes manipulaient différents outils pour se nourrir .Ils avaient développés des méthodes astucieuses pour mieux récolter les fourmis, les termites et surtout le miel. En effet, en léchant des brindilles introduites dans les troncs d’arbres après les avoir dénudés, ces primates peuvent récolter sans danger la substance nourricière.
Les chercheurs ont alors commencer à accepter la possibilité que ces habiletés résultaient d’innovations de quelques orangs outans ingénieux dont les ruses s’est répandus dans la population (du fait que d’autres les aient apprise en observant les experts). En d’autres termes l’usage de l’outil serait d’ordre culturel. Ces études montrent l’importance des rapports sociaux dans l’intelligence.
Aussi, les animaux qui connaissent un développement lent, vivant longtemps avec au moins un parent (comme l’être humain), sont généralement plus inventifs et développent de meilleurs techniques d’apprentissage social.
Des tests prenant en compte la taille relative du cerveau et des variables sociales comme l’instinct grégaire confirme le fait que les espèces les plus portées pour l’innovation sont aussi les plus socialisées.
Nos capacités sont donc conditionnées par notre programme génétique et notre degré de socialisation, mais qu’en est il des grands génies de l’histoire ? Avaient il des facultés or du commun ou simplement un sens aigu de l’intuition ?

Le génie
« Mr Einstein comment avez fait ? » demandait Marx Wertheimer au père de la relativité. Ce psychologue cherchait à savoir depuis des années si les grands génies possédaient une plus grande culture, une plus grande logique ou s’il s’agissait simplement d’un hasard…

Le chercheur apprit que lorsque Einstein réfléchissait à l’espace il se voyait chevauchant un rayon de lumière ou courant à ses côtés, se demandant si, s’il parvenait à la même vitesse, le rayon disparaîtrait…ce génie incontesté avait la capacité d’aborder les problèmes d’un point de vue différent et de se détacher de ce qu’on lui avait appris, de ce qui était établit.

Voici un petit test qui consiste à déterminer les sommes des deux aires. Essayez de résoudre le problème (ou proposer le à votre prof de maths).

Vous (ou votre professeur) avez sûrement commencé par appliquer les formules d’aires que vous connaissez. Vous avez pu ainsi rapidement trouver l’aire du carré (a x a) mais vous ne parvenez pas à calculer l’aire du parallélogramme. Quoique vous fassiez il manque toujours une longueur n’est ce pas ?
La solution semble impossible et il est évident de constater qu’il vous manque une idée de génie (désolé..) : calculer les deux aires en même temps !
Il vous faut regarder le problème différemment comme deux triangles rectangles superposés se combinent pour former un rectangle !! La réponse est donc a x b.
Ainsi, une restructuration, un œil nouveau sur les choses conduisent au succès. L’utilisation usuelle d’un principe (formules d’aire) restreint le choix de vos actions.
Plusieurs chercheurs ont montré que l’exécution répétée de même étape de résolution d’un problème aboutit à ce que d’autre stratégie plus simple soit écartée. Ainsi dans l’expérience de la bougie développé plus haut, la solution était plus souvent trouvée lorsque la boite était vide et les allumettes posées à côté. La fonction habituelle du récipient rend plus difficile de penser à une autre utilisation.
Ainsi, les grands génies avaient la capacité de se détacher de ce qui semble acquis, ils envisageaient le problème différemment, d’un angle nouveau.

L’intelligence existe sous des formes très diverses et complexes, elle ne peut en aucun cas être mesuré (Il a été prouvé que les test de Qi ne peuvent établir si un individu est intelligent ou non), et est le produit d’années d’évolution et de socialisation. Le génie, quant à lui, réside dans la faculté d’apprécier une situation avec un œil nouveau sans tenir compte de lois ou d’acquis qui restreignent le choix de nos actions.
Enfin c’est pas tout ça mais pour nous le bac c’est pour bientôt, alors voila de quoi méditer ces quelques semaines à venir.
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